Une règle répétée à tue-tête…
Plus le temps passe et plus les options sont nombreuses, Internet semble les multiplier et les rendre plus accessibles, quelques exemples:
- Métaux précieux (or, argent, cuivre…)
- Bourse (actions, obligations, ETF, copytrading…)
- Blockchain (cryptoactifs, minage, masternodes, staking…)
- Immobilier (Crowdfundings, crowdlendings, Colocations, LCD, SCPI…)
- Assurances (vie, complémentaire retraite…)
- Private equity…
- Le vin, les vaches, et j’en passe!
Ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier
Gallus gallus domesticus
La diversification permet de réduire les risques
Lorsque l’on investit dans un seul type d’actif, on est exposé à des risques spécifiques à ce type d’actif. Par exemple, si l’on investit uniquement dans des actions d’une seule entreprise, on est exposé au risque de faillite de cette entreprise. En revanche, si l’on investit dans des actions de différentes entreprises, on réduit le risque de faillite de l’ensemble du portefeuille.
Le portefeuille reflète le profil de l’investisseur que vous êtes : défensif, équilibré, offensif…
La diversification est une sécurité, reste à trouver les proportions qui vous conviennent.
Les plus audacieux préfèrent évoquer la « concentration », qui consiste à extraire des profits d’un secteur pour investir sur un autre qui n’aurait pas encore décollé : le timing, la connaissance, le flaire (sentir le marché) sont de mise.
Une caricature du risque ?
Plus l’investissement est palpable, tangible, concret et forcément historique, moins il est à risque; au contraire plus il est moderne, abstrait, virtuel et plus il semble l’être…
L’exemple le plus récent est le secteur des crypto-actifs : quelques success stories mises en avant pour des milliers qui perdent gros dans l’ombre…